Bientôt nous plongerons dans les froides ténèbres; /
Adieu, vive clarté de nos étés trop courts! /
J'entends déjà tomber avec des chocs funèbres /
Le bois retentissant sur le pavé des cours. \ (...) Ah! laissez-moi, mon front posé sur vos genoux,\
Goûter, en regrettant l'été blanc et torride,\
De l'arrière-saison le rayon jaune et doux!
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